La tristesse est si belle
Plus qu’une simple artiste plastique, Johanna Olk débride la tristesse au point de la rendre plus belle que jamais.
Rendre la mélancolie resplendissante, tel est le pari brillant de Johanna Olk. Du haut de ses 26 ans, la jeune artiste basque peint, dessine, tatoue des visages et des corps de femmes authentiques au regard perdu, écho à la morosité du monde. Sa signature ? Dessiner la banalité du quotidien en un coup de pinceau à travers des dessins en noir et blanc ou des peintures sourdes, en demi-ton. Tout en romantisme et en finesse, ses silhouettes croisent souvent le chemin d’une cigarette, « symbole tangible de la tristesse » selon l’illustratrice. Bourdon, quand tu nous tiens.
Voir cette publication sur InstagramBut, what are you going to do now ? – Ah.
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