Minimal mais pas trop
On adore la force tranquille d’une certaine Ina Beissner, créatrice de bijoux parmi les plus désirables du moment (si si).
C’est au premier abord ses boucles d’oreilles qui nous ont tapé dans l’oeil : les créoles Kaeli (ci-dessus) s’inspirent largement du piercing, la perforation (et la douleur !) en moins. Installée à Berlin, Ina Beissner a des origines péruviennes et allemandes et réalise, justement, des bijoux à mi-chemin de ces deux mondes. Une “collision” réussie entre rigueur européenne et influences plus tribales venues d’Amérique du Sud. Au final : des formats très minimalistes mais “twistés” d’un supplément d’âme : fermetures façon têtes de vis ou “clochettes” de diamants rappelant ces hochets porte-bonheur péruviens censés éloigner les mauvais esprits. C’est tout le mal qu’on lui souhaite !